Il n’y a vraiment pas de voiture plus recherchée que celles fabriquées par Ferrari. Les Italiens sont arrogants et c’est également logique ; pendant plus de mille ans, ils ont gouverné le monde. Que héritage et ce statut, semble-t-il, ne les a jamais vraiment quittés. Sous le couvert des Romains, les Italiens nous ont offert une architecture magnifique et des réalisations structurelles, notamment des routes et de la plomberie. D’accord, apparemment, ils n’ont pas inventé les routes ni la plomberie (drainage), mais ils ont considérablement amélioré ces deux bastions clés de la civilisation grâce à leur maîtrise du béton et donc de la construction. Notre calendrier moderne vient des Romains, tout comme le concept monétaire consistant à payer pour quelque chose par opposition au troc. L’héritage des Italiens se poursuivra pendant des années. Il y a tellement d'autres contributions que nous pouvons aborder, mais pour le bien de mes doigts et de votre capacité d'attention, nous allons nous concentrer sur la seule chose qui Italie est immédiatement associée à ces jours – Ferrari. Et soyons honnêtes, ce n’est pas seulement de nos jours. Ferrari existe depuis de nombreuses années, ayant déjà été fondée en 1939.

Enzo Ferrari

Si vous avez déjà eu le plaisir d’en posséder une ou d’en conduire une, vous devez remercier Enzo Ferrari. Né juste avant le début du XXe siècle, Enzo Anselmo Ferrari a des débuts modestes. Fils d'un épicier qui, pendant son temps libre, créait des pièces métalliques, Enzo n'avait aucune éducation formelle. Cependant, à l'âge de 10 ans (c'était en 1908), il avait été témoin d'une victoire serrée d'un éminent pilote de course automobile et après cela, il savait qu'il voulait faire de même. Après un passage dans l'armée et une grave épidémie de grippe italienne qui lui a coûté son père et son frère, Enzo a contacté Fiat pour un emploi, mais celui-ci a été refusé. Il a finalement trouvé un emploi chez un constructeur automobile basé à Milan, spécialisé dans la conversion de camions d'occasion en voitures. En 1919, Enzo fut promu pilote de course automobile et y était suffisamment doué pour qu'en 1924, il coure pour Alfa Romeo.

L'Alpha et l'Enzo

Alfa Romeo a joué un rôle déterminant dans les années de formation de Ferrari. Enzo, après la mort d'Antonio Ascari, un pilote éminent, s'est senti peu enclin à continuer la course et après la naissance de son premier fils, Afredo en 1932, et a décidé de se concentrer plutôt sur le développement des voitures de course Alfa. C’est à cette époque qu’Enzo a constitué une équipe de pilotes de renom appelée Scuderia Ferrari, qui est devenue la division course d’Alfa. De grands talents et de grandes voitures ont donné naissance à des résultats fantastiques et c'est à cette époque que le cheval cabré, désormais indissociable de la marque telle que nous la connaissons, a commencé à apparaître sur les voitures de l'équipe. L'emblème a en fait été créé par un pilote de chasse italien du nom de Francesco Baracca qui a offert à Enzo un collier avec l'emblème avant de prendre son envol. Malheureusement, Baracca a été abattu et tué en 1918 et pour honorer sa mémoire, Enzo a utilisé le cheval cabré pour créer l'emblème qui allait devenir le bouclier Ferrari. Comme Enzo était encore chez Alfa à cette époque, l’emblème fut utilisé pour la première fois sur les voitures Alfa et ce n’est qu’en 1947 qu’il apparaîtra pour la première fois sur une Ferrari.

La fondation de Ferrari

A disagreement with the managing director of Alfa, Ugo Gobbato, saw Enzo leaving in 1939. Ferrari then established a company called Auto-Avio Costruzioni whose purpose was that of supplying parts to other race teams. Due to a contractual clause, Enzo was prohibited from designing or racing cars for 4 years. Regardless of this clause, Ferrari managed to produce two cars by 1940. While founded in 1939, Ferrari was only officially recognised in 1947 when it released its first badged car. During this time WWII broke out and under the command of Mussolini, Ferrari was forced to contribute to war production. After the allied forces bombed the factory, Enzo relocated to Maranello where he decided to make cars bearing his name and thus in 1947 he founded Ferrari S.p.A.

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Grand succès et grande perte

Le premier objectif d’Enzo était de défier Alfa pour la domination de la course. La fin des années 1940 et les années 1950 qui suivirent se révélèrent victorieux années pour Ferrari car leurs voitures et leurs pilotes leur ont valu une renommée et ont ainsi contribué à promouvoir la marque. Ferrari est à ce jour la seule équipe à être entrée et restée en Formule 1950 depuis le premier jour en 50. Ferrari n'aurait pas pu rêver d'un meilleur ami et motivateur que la Formule 1. Afin de financer ses projets de course, Ferrari a commencé à vendre des voitures de sport. La fin des années XNUMX s’est avérée dévastatrice pour Ferrari, qui concourait dans un sport qui en était encore à ses balbutiements et qui était loin d’être à la hauteur de la technologie présentée dans le climat actuel de la FXNUMX.

En 1957 lors d'une course et à 250km/h, un pneu éclate sur un 4.0-litre Ferrari 355S causing the car to crash and in the process killed Alfonso de Portago – the driver, his co-driver, and nine spectators of which five were children. What ensued was a lengthy criminal prosecution case in which Enzo and the tyre manufacture were charged with manslaughter. This case was only dismissed in 1961.

Le début des années 1960 s’est également avéré difficile pour Ferrari lorsqu’un grand nombre de dirigeants clés ont quitté l’entreprise et ont lancé un constructeur automobile rival. À l'époque, on pensait que ce grand débrayage était dû à la forte personnalité et au style de gestion d'Enzo, mais plus de 30 ans plus tard, en 1998, Romolo Tavoni, l'un des personnages clés qui ont quitté dans ce qui est devenu connu sous le nom de The Great Walkout, a admis avoir ont été évincés en raison d'un désaccord avec Enzo et le rôle de sa femme dans l'entreprise. Tavoni a poursuivi en disant qu'ils avaient fait appel à un avocat pour écrire une lettre alors qu'avec le recul, ils auraient dû discuter ouvertement de la question avec lui.

Mais qu'en est-il des voitures ?

J’ai longuement parlé des années de formation de Ferrari et de son fondateur, mais jusqu’à présent, je n’ai pas abordé ce qui fait de cette marque ce qu’elle est : ses voitures. D’aussi loin que je me souvienne, Ferrari était là, pas en réalité bien sûr, mais sous forme de fantasme et d’aspiration. Qui, qui a grandi dans les années 1980, n’avait pas une affiche de la Ferrari Testarossa sur son mur ? Des émissions comme Miami Vice et Magnum PI n'ont fait que contribuer à perpétuer l'image de la Ferrari comme l'incarnation du cool. Alors que la première émission utilisait la Testarossa susmentionnée, la seconde s'appuyait sur la 308 GTS conduite par la star de l'émission, Tom Selleck.

Ferrari was everywhere. If it wasn’t being driven by Ferris Bueller and his mates while they played hooky, it was driven a blind Al Pacino in Scent of a Woman. Throughout the 1970s, 80s and 90s Ferrari dominated the realm of pop culture sprucing up the fantasy and dreams of every boy and quite possibly those of quite a few girls, too. On the race circuit Ferrari’s dominance led to innovations in its showroom cars.

The beauty of a Ferrari is that practically each car is iconic. It is instantly recognisable and regardless of when it came out, has a timeless attribute to it. Ferrari is a symbol of status and success and if you can afford it, the car will last for years to come. These cars are elegant, sexy, robust, aggressive, fast and capable, and have remained in line with the vision of their founder, Enzo Ferrari. The last car the founder oversaw has also remained the most iconic one of the lot, the F40. Released in 1987, one year before Enzo would step down, the F40 was way ahead of its time. Enzo’s request that his engineers create “the best car on the face of the earth” were heeded. The F40 sports lightweight materials, a V8 twin turbocharged motor and almost none of the features found on the common car. The dashboard is covered in cloth to prevent any reflection in the eye, there are no door panels and a cord serves as the handle. With the exception of a seatbelt and a roll cage, the F40 forgoes safety and puts foot on raw speed. It’s like that runway model that looks great and laughs loud but don’t expect her to cook a meal.

Est-ce un investissement ?

Si vous en avez les moyens, et cela implique que vous pouvez entretenir correctement la voiture, alors oui, c'est un investissement. En d’autres termes, si vous pouvez supporter de débourser plus de mille dollars pour un seul pneu et les coûts exorbitants qui accompagnent les services, sans parler de l’usure, alors oui, ce sera un véhicule d’investissement. Ce qui est étonnant avec une Ferrari, et cela ne s'applique pas à toutes leurs voitures, mais à la plupart, c'est la valeur d'amortissement, qui est presque inexistante. Une Testarossa, qui ne peut être que d'occasion, coûte entre 85 000 et 350 000 dollars. Dans certains pays, cela dépasse largement le million selon la monnaie !

Réflexions finales

Ferrari fait rêver. C’est la voiture que vous obtenez une fois que vous l’avez fabriquée, et par là j’entends vraiment l’avoir réalisée. Si jamais vous avez la chance ou travaillez suffisamment dur pour en posséder un, alors bravo à vous. Pour le reste d’entre nous, il y a le rêve.

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