Even if you just watch skiing once every four years at the Winter Olympics, the sport can be exciting, fast-moving and exhilarating. Some people watch it for the thrills and spills of the rapid descents that the top skiers put themselves through and others gain a certain pleasure from observing the technical skills on display. In fact, skiing attracts a great deal of interest from gamblers over the course of a season. You can find odds on nearly all of the major events and even sites dedicated to winter sports betting tips. The growth in popularity of skiing as a spectator sport has not been universal, however. It should be said that whilst blue riband events like the Alpine downhill often attract big audiences, there are some lesser-known disciplines which still come under the auspices of the sports governing body, the International Ski Federation (FIS). What are they and what do they entail for competitors?

Ski de fond

Cette discipline requiert une condition physique incroyable et un système cardiovasculaire puissant de la part de tous ceux qui y participent. Certains des athlètes les plus en forme participent au ski de fond, l'une des épreuves de style nordique les plus anciennes de la FIS. Les épreuves masculines ont commencé à avoir lieu dès 1925, tandis que celles réservées aux femmes n'ont démarré que dans les années 1950. De nombreuses épreuves impliquent des skieurs empruntant des pistes parallèles dans la neige, ce qui implique de glisser d'un pied sur l'autre en utilisant une paire de bâtons pour se propulser. Les skieurs peuvent prendre de courtes pauses sur des pentes mineures, mais doivent également gravir les pentes dans des exploits d'endurance à couper le souffle. Le sport s'est développé à partir d'activités militaires où les patrouilles utilisaient des skis pour se déplacer. De nos jours, les épreuves ont tendance à être longues et dépassent souvent les 50 kilomètres. Des courses de relais et des épreuves paralympiques ont également été introduites.

Saut à ski

Le saut à ski ne reçoit pas l’attention qu’il mérite. C'est peut-être parce que le sport comporte un certain nombre de détails techniques qui le rendent un peu impénétrable la première fois que vous le voyez. Le saut à ski est basé sur la longueur des sauts, tout comme un saut en longueur normal en athlétisme. Mais ce qui différencie les sauteurs à ski, c'est qu'ils se voient également attribuer des points en fonction de leur style, une question toujours subjective. Autre épreuve dite de ski nordique, le saut à ski nécessite généralement une structure artificielle à partir de laquelle chaque concurrent se lance. Bien que ce sport soit sous la juridiction de la FIS depuis les années 1920, il était considéré comme une activité réservée aux hommes jusque dans les années 1990, lorsque les femmes ont commencé à s'y impliquer. Le saut à ski demande énormément d’engagement et de courage de la part des compétiteurs. Un sport frère, connu sous le nom de vol à ski, s'est également développé dans lequel les participants peuvent se déplacer dans les airs sur plus de 250 mètres !

Ski de bosses

This sport first started to become popular in the 1970s but it took until the 1992 Winter Olympic Games for it to become truly internationally recognised. Still not well-known by the general public, mogul skiing involves skiing over a series of bumps on a specially prepared course. Competitors must weave their way through the course and perform a series of sharp turns so it takes it out of the ankles and knees. Certain routes through the bumps, or moguls as they are known, become quicker thanks to the efforts of previous competitors. A typical mogul course is short, perhaps only 250 metres from end-to-end. However, there is plenty of action because the moguls themselves are spaced only a few metres apart from one another. Impressive turning is essential because this accounts for the greatest proportion of a participant’s score. Additional points are awarded for jumps, known as airs, and the time the course was completed in.

Ski sur herbe

Il convient de noter que la FIS n’est plus seulement une instance dirigeante des sports d’hiver. La fédération organise également des épreuves de ski d'été qui se déroulent sur des pistes en herbe. Le ski sur herbe s'est développé comme un moyen pour les skieurs alpins de rester en bonne condition physique et de développer leurs compétences pendant la basse saison. De nos jours, le ski sur herbe est considéré comme un sport à part entière en plein essor. Les participants utilisent des gants, des bâtons, des casques de ski et des chaussures. Cependant, au lieu de skis conventionnels, ils portent des skis raccourcis dotés d'une série de bandes de roulement en ligne qui leur permettent de progresser en descente. Un Allemand nommé Richard Martin a eu l'idée du concept dans les années 1960 et il a immédiatement encouragé les stations de ski à adopter le ski sur herbe comme moyen de générer des revenus pendant les mois d'été. L'herbe doit être relativement courte pour qu'un événement ait lieu, mais lorsque c'est le cas, des vitesses étonnamment élevées ont été enregistrées par les skieurs sur herbe les plus intrépides.

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